6 Temmuz 2011 Çarşamba

La diva Souad Mohamed n'est plus

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La diva Souad Mohamed n'est plus (Vidéo)

Le monde arabe en général et égyptien en particulier a appris avec affliction le décès de Souad Mohamed de 85 ans, une grande dame de la chanson arabe, survenu hier soir après une longue souffrance suivi par deux opérations sur le cœur et la tête....

Souad Mohamed nous a quitté hier soir laissant une grande répertoire de chansons arabes, après une longue souffrance suivi par deux opérations sur le cœur et la tête.

La légende, née, un 14 février 1920, a quitté la scène dans les années 1980. Arrivée tôt au Caire, au début des années quarante, peu après les Libanaises Mary Jubran, Marie Mansour et Sabah et presque en même temps que Laure Daccache, Faïza Ahmed, Najah Salam et Nourel Hoda, elle débute en 1941 au Théâtre Rex, à Beyrouth, où elle connaît un franc succès avec le tube d'Oum Kalhtoum «Efrah ya albi». En 1947, elle fait un tabac avec «Madhlouma» (Abusée). En 1948, sous la direction de Mahmoud Zulfikar, elle tourne son premier film, Une fille de Palestine. L'année suivante, elle récidive avec «Ana ou hobbi» aux côtés de Magda, Mimi Shakib et Omar Hariri.

La notoriété de Souad Mohamed a franchi les frontières grâce à la mélodie suave et chaude de sa voix qui s'est pliée aux rythmes des vers des plus célèbres poètes arabes. On a toujours en mémoire le fameux «Iradet el hayet» (vouloir vivre) de Aboul Kacem Chabbi, mis en musique par le compositeur libanais Halim Erroumi. Ses talents de grande interprète lui ont valu d'être «touchée» par la grâce des plus prestigieux des compositeurs : Ahmed Sedky, Farid Al Atrache, Zacharia Ahmed et tout particulièrement Riadh Sombati.

Le répertoire de Souad Mohamed sera étoffé de six chansons : «Damaâ ala khad ezzaman» (Une larme sur la joue des jours) de Mohamed Muhsin, «Ya Rassoul Allah» (Messager de Dieu) de Zacharia Ahmed et quatre chefs-d'oeuvre de Riadh Sombati «Min fakkarak», «Ana wahdi», «Ahebak» et «Inta el hawa»। Ces chansons seront interprétées par Fatma Siala Ben Ismaïl, Inès Chtourou-Elloumi et Najoua Klibi-El Kamel.



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