3 Ağustos 2011 Çarşamba

Bob Marley, rasta toujours dans nos mémoires




Le lion est mort, le 11 mai 1981, à Miami. Trente ans après sa disparition prématurée, à la suite d’un cancer généralisé, il reste le chantre du reggae, le symbole de la contestation universelle, de l’émancipation et de la liberté.

Robert Nesta Marley est né le 6 février 1945 à Rhoden Hall près de Nine Miles, dans la paroisse de Saint Ann, d'une mère jamaïcaine et d'un père anglais, officier de marine, qu'il n'a pas connu.
Il grandit dans le ghetto de Trenchtown à Kingston, confronté à la violence, dès son plus jeune âge. La musique adoucit les mœurs, dit-on, le cannabis aussi, apparemment. Le jeune rebelle enregistre son premier titre Judge Not et fonde peu de temps après avec Peter Tosh et Bunny Wailer, le groupe The Wailers (les gémisseurs), sans succès.

En 1966, pour des raisons économiques, il part travailler aux Etats-Unis, dans une usine Chrysler; puis revient en Jamaïque. En 1974, il sort son premier disque solo Natty Dread. Les albums s'enchaîneront et se vendront, par millions, jusqu'à la fin.
Miroir des peuples opprimés, héros, exemple et modèle à la fois, Bob Marley est considéré comme le porte-parole défunt mais privilégié des défavorisés. Sa voix, sa spiritualité, son mode de vie (il a reconnu onze enfants) et sa philosophie (il a porté à son paroxysme la dénonciation de la négation de la personne Noire et de la culture africaine) continuent d’interpeller la planète... et de la faire vibrer! deneme1

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