29 Haziran 2011 Çarşamba

Transformers 3, un blockbuster visuellement époustouflant

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Michael Bay et Steven Spielberg ont sorti l'artillerie lourade


L'été cinéma démarre en fanfare avec Transformers 3. Un pur film d'action qui offre une idée de scénario plutôt maligne, une réalisation qui ne fait pas dans la dentelle, mais des séquences à couper le souffle.

Comme la plupart des films à suite, la franchise Transformers commençait à s’essouffler dès le deuxième opus intitulé La revanche. Conscients de leurs erreurs, son producteur Steven Spielberg et son réalisateur Michael Bay ont su réagir et repartir de plus belle avec un troisième épisode des aventures de ces robots géants. Certes Transformers 3, la face cachée de la lune reste un blockbuster, un vrai pop corn movie, un film d’action sans finesse, idéal pour se détendre cet été dans la fraîcheur des salles climatisées. Mais dans le genre, c’est une vraie réussite.

Le point de départ de l'histoire est plutôt malin: en 1969, la mission Appolo 11 a conduit Neil Armstrong et Buzz Aldrin sur la Lune non pour y poser le premier pas, mais pour y explorer un vaisseau spatial qui s'y était écrasé quelques années auparavant. Quarante ans plus tard, cette découverte menace la Terre qui va devenir une fois de plus le théâtre des affrontements entre les frères ennemis Transformers, les Autobots et les Decepticons. Le jeune Sam Witwicky, qui a du mal à trouver du travail, est finalement bien content de repartir au combat pour tenter de sauver le monde une troisième fois.
Avec un scénario finalement assez convenu, Transformers 3 reprend les recettes des deux premiers épisodes, Megan Fox en moins, cette dernière ayant été virée par Steven Spielberg

Malgré une plastique de rêve et des courbes vertigineuses sur lesquelles s'attarde avec lourdeur la caméra de Michael Bay, la sculpturale Rosie Huntington-Whiteley ne parvient pas vraiment à la faire oublier. Il faut dire que ses lignes de texte et sa contribution au déroulement de l’histoire ne lui permettent pas de donner la pleine mesure de son talent. Shia LaBeouf fait le job avec l'énergie qu'on lui connaît, tout comme le sympathique Josh Duhamel et le docteur Mamour de la série Grey’s Anatomy, Patrick Dempsey, qui endosse ici le costume du méchant. Seuls les rôles secondaires tenus par John Malkovich et John Turturro relèvent plus de la caricature et n’apportent pas grand chose au film.

En revanche, il ne faut pas oublier que les personnages principaux de Transformers sont des robots. Optimus Prime et Bumblebbe sont toujours présents, rejoints par une équipe de petits nouveaux et de redoutables adversaires comme Schockwave et Soundwave. On ne parlera bien évidemment pas de jeu d'acteur en ce qui les concerne, mais leur réalisation est absolument époustouflante. Tout comme certaines séquences, dont une en parachute, qui ne manqueront pas de vous cramponner à votre fauteuil ou de faire valser vos lunettes 3D à l'autre bout de la rangée. Transformers 3 ouvre une saison estivale qui promet d’être riche en grosses productions avec les très attendus Harry Potter et les reliques de la mort, 2e partie, le film d'animation Cars 2, la production Steven Spileberg/J.J.Abrams Super 8 ou encore La planète des singes: les origines.
Dimanche, l’avant-première de Transformers 3 a eu lieu au Grand Rex à Paris. Patrick Dempsey était présent sur le tapis rouge. Il a répondu aux questions de Gala.fr.

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