29 Haziran 2011 Çarşamba

Mort de la pin-up Elaine Stewart

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La sulfureuse actrice s’est éteinte à 82 ans

L’icône glamour et sexy des fifties a rendu l’âme, à Los Angeles.

Fin d’un fantasme. Elaine Stewart, brune incendiaire et pulpeuse, est décédée, à l'âge de 82 ans, à son domicile de Beverly Hills, des suites d'une longue maladie.

Née le 30 mai 1929 à Montclair dans le New Jersey, Elsy Steinberg -de son vrai nom- est la fille d'un agent de police et d’une femme au foyer. A 13 ans, elle quitte l’école, devient ouvreuse dans un cinéma puis secrétaire dans un cabinet médical. Ses courbes et sa peau parfaites la propulsent «Miss Palmolive», en 1948. Fraîche comme une bulle de savon, elle est recrutée par la Harry Conover's Model Agency, la Mecque des mannequins de New York.

«Reine du beauté» selon le magazine See, Elaine tape dans l’œil de la MGM. Ses yeux de braise transpercent l’écran dans La Chute d'un Caïd, Escorte pour l'Orégon, Le Survivant des Monts Lointains, Les Aventures de Hadji Baba, Brigadoon, Sergent La Terreur, La Reine Vierge et Chantons sous la Pluie, mais c’est aux côtés de Kirk Douglas et Lana Turner dans le classique de Vincente Minnelli, Les Ensorcelés, en 1952, qu’elle se fait remarquer.

Sa silhouette fuselée et sa sensualité débordante, la starlette sur le chemin de la gloire, en fait profiter les séducteurs patentés et les millionnaires de Hollywood. Volage, elle s’amuse des langues de vipères et passe, sans scrupules, des bras de Scott Brady à ceux de Robert Evans. Les diamants, les sacs, les visons, elle les collectionne, comme les hommes.
«J'adore l'argent! Tout est en argent chez moi, de mon vernis à ongles à mes couverts en passant par mes bijoux et ma Mercedes!», déclare-t-elle, à la presse, dans une citation reprise par Céline Colassin dans la Saga des Etoiles Filantes.

Crinière de jais et caractère bien trempé, Elaine est l’exact opposé des créatures évanescentes et naïves qui fleurissent sur les affiches d’après-guerre. Princesse capricieuse, businesswoman avant l’heure, elle a le sens des affaires, investit dans des puits de pétrole, des appartements et même des hôtels en Floride!

Malgré ce succès, retentissant, sa carrière s’essouffle rapidement et notre poupée à la plastique irréprochable se fait coiffer au poteau par la jeune Joan Collins. Furax, elle quitte MGM pour Universal, pose pour Playboy… et se décolore les cheveux! «Peut-être aurais-je plus de chance en devenant blonde», déclare-t-elle, à l’époque. Provocante, juste ce qu'il faut.



La comédienne qui s'exprime parfaitement en allemand et en français somme alors son impresario de lui trouver des rôles en Europe. En vain.
Désabusée, Elaine Stewart décide d’épouser, le 30 Décembre 1961, un certain Bill Carter… Pour divorcer peu après: «Cent fois je lui ai demandé de travailler mais il ne sait rien faire», se plaint-elle.

Le 31 Décembre 1964 elle convole, en secondes noces, avec le producteur de télévision, Merrill Heatter. L’occasion de briller sur petit écran, dans un épisode de Perry Mason.

Pour élever ses deux enfants, Stewart et Gabrielle, notre vedette se retire du showbiz. Mais son époux la préfère sous les projecteurs. Dans les années 70, elle se convertit donc en animatrice des jeux produits par son conjoint: Gambit sur CBS, puis High Rollers, pour NBC. Présentatrice de choc et de charme, elle enflamme la lucarne et conquiert le cœur du public.
Elaine Stewart restera dans les mémoires comme l’un des plus célèbres sex-symbols de l’âge d’or du cinéma.



deneme1

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